Rien de plus complexe qu’une enquête policière. Une infinité de pistes possibles, un nombre impressionnant d’intervenants : témoins, victimes, suspects, inspecteurs, experts, indicateurs … Des documents en pagaille, des milliers de pages à lire, à intégrer, à mettre en relation. Des délais stricts à respecter.
Vous êtes-vous déjà sentis débordés par autant d’éléments à appréhender, à coordonner, à utiliser ?
Alors, transformez-vous en Sherlock Holmes des temps modernes, et expérimentez l’efficacité du mind mapping.
Le célèbre détective tenait son succès à sa capacité à faire des liens et à gérer une foule d’éléments apparemment étrangers les uns aux autres.
S’il vivait à notre époque, il utiliserait les nombreuses fonctionnalités du mind mapping pour résoudre ses enquêtes.
Vos défis sont aussi passionnants qu’une enquête policière ? Vous désirez prendre note, comprendre, mémoriser, communiquer ? Vous voulez organiser ou gérer un projet ? Vous avez un problème à résoudre ou une décision à prendre ?
Expérimentons ensemble l’efficacité du mind mapping en nous mettant dans la peau du détective. Vous êtes prêts ?
Le couteau suisse du cerveau adaptable à toutes vos situations.
Pour avoir une vision globale du dossier, vous confectionnez d’abord cette carte : elle vous permet d’accéder à tous les documents de votre affaire.
Des notes plus claires pour un esprit plus clair
Plutôt que d’éplucher quotidiennement vos dossiers et vos tableaux de planning, plutôt que de vous perdre d’errance en ressassement, vous identifiez en un regard les éléments importants, les tâches réalisées et celles à effectuer. Vous bénéficiez simultanément d’une vision globale et d’une vision détaillée de votre dossier.
Dans un texte, seuls 20% des mots font réellement sens. Les 80% restants captent tout autant votre énergie et votre temps. En organisant vos informations en mind mapping, seuls les mots clés apparaissent. Grâce à une économie de 80 % de charge cognitive, vous traitez, dans le même temps, beaucoup plus d’informations, sans avoir l’impression de surcharge.
Mind mapping : un système qui fonctionne comme votre cerveau
Quand vous pensez, vous avez souvent l’impression que vos idées partent dans tous les sens ? Plus vous êtes créatifs, plus ça fuse comme un feu d’artifice ! Vos idées se déploient en arborescence parce que votre cerveau fonctionne par association d’idées. Or c’est exactement cette efflorescence multidimensionnelle que le mind mapping met en espace. En d’autres mots, le mind map est une photo, en deux dimensions, de nos pensées et des liens qu’elles entretiennent entre elles.
Mais, me direz-vous, il n’est pas question de figer mes pensées !
Effectivement, vos pensées évoluent constamment au gré de la plasticité neuronale. Cette souplesse est une preuve de votre créativité et votre adaptation. Il est dès lors important de la permettre et de la stimuler.
C’est pour cela qu’en Sherlock Holmes des temps modernes vous utilisez le mind mapping. Vous confectionnez des cartes qui suivent l’évolution de votre pensée, mais également les aléas de l’enquête. Vous ajoutez et déplacez des branches, vous créez des sous-cartes. De sorte qu’à chaque instant, vous avez sous les yeux la situation en temps réel. Mieux, vous accélérez l’avancement de l’enquête en partageant cette vision avec votre équipe et les différents acteurs de l’affaire. Ensemble, vous contribuez à une vision commune, une perception globale et détaillée du dossier.
Dès votre arrivée au bureau, vous visualisez les tâches réalisées et celles à effectuer, quand et par qui.
Cette tâche rapidement traitée, cette nouvelle carte vous offre une vision globale des différents témoins : vous identifiez rapidement des liens, des rapprochements, d’éventuelles zones d’ombre.
Et le suspect ? Cette carte vous en offre une vision assez complète.
Vous soupçonnez plusieurs personnes ? Intégrez-les ensemble dans une carte alternative et comparative, et vous aurez une vision claire des forces ou des faiblesses de vos suspicions.
Comment envisager les différents scénarios ?
Invitez votre équipe à une projection de vos cartes. Prenez note en direct de chaque intervention : les différents scénarios apparaissent. Testez alors les différentes hypothèses en visualisant les liens et les incohérences, mais également les actions à engager pour en savoir plus sur tel ou tel aspect de l’enquête.
Pourquoi avez-vous coloré et illustré cette carte ? Pour aiguiser votre créativité et stimuler votre capacité à imaginer des solutions, même si elles semblent « hors cadre ».
De plus en plus convaincu de l’efficacité du mind mapping, vous l’utilisez pour tracer une ligne du temps.
Les différents événements, isolés par-ci par-là, participent maintenant à la même cohérence temporelle.
Un voile se lève. L’énigme perd peu à peu de son mystère. Vos collègues vous félicitent d’avoir choisi les outils du mind mapping. Le dossier n’est plus un objet mort sur un bureau encombré, mais un organisme vivant qui évolue en temps réel en fonction de l’avancement de l’enquête.
Tous les schémas, les documents joints et les hyperliens sont accessibles au départ d’onglets (comme dans Excel). Vous choisissez les personnes à qui vous en autorisez l’accès.
Un nouveau membre intègre l’équipe ? Très vite au courant du dossier, il en sera d’autant plus opérationnel.
La carte facilite ainsi la communication interne par une représentation des connaissances explicites et implicites des différentes parties prenantes.
Les prises de notes
Les prises de note vous ont toujours paru fastidieuses ?
Depuis que vous utilisez le mind mapping, prendre note n’a jamais été aussi facile.
Les prises de note individuelles sont facilitées. Les informations qui arrivent de toutes parts sont classées directement dans les branches adéquates.
Les prises de note partagées sont optimalisées.
Vous êtes policier ou enquêteur ? Et vous avez toujours rêvé d’avoir une vision holistique et immédiate de votre affaire ? Souhait exaucé grâce à la carte heuristique !
Lors d’une déposition, le témoin, la victime, ou le suspect, pris par l’émotion ou le stress, révèlent des informations incomplètes et sans lien chronologique. Ils évoquent une flopée d’éléments, sautent d’un sujet à l’autre. Dans cette situation fréquente, le risque est grand, pour le policier que vous êtes, de perdre des informations importantes. Même si vous notez l’intégralité du récit, l’élément important, perdu dans la masse, n’apparaît pas. De plus, le texte linéaire limite l’émergence d’idées nouvelles et favorise peu les associations.
En utilisant la carte heuristique, vous remplissez la carte au gré de la discussion.
Vous captez les informations au vol et les inscrivez dans un tableau au contenu organisé et à la chronologie cohérente.
L’interviewé s’éloigne du sujet ? Le centre de la carte vous permet de recentrer le questionnement.
Si le suspect est interrogé plusieurs fois, comme c’est le cas lors de questionnements itératifs, comparer les cartes permet de voir directement les incohérences avec les précédentes dépositions.
Lors des entretiens non directifs ou cognitifs, l’utilisation de la carte permet facilement un changement d’ordre narratif ou de perspective, même si l’interviewé organise son discours selon sa propre logique. Lors de la focalisation périphérique, les ajouts seront consignés sur la carte du récit spontané.
Une enquête réalisée par Fisher, Geiselman et Amador (1989) montre à quel point la méthode traditionnelle inhibe le témoin et affaiblit l’enquête. Nous le comprenons aisément une fois que nous utilisons la méthode, beaucoup plus performante, que nous propose le mind mapping. Outre l’impressionnante performance mnésique qu’elle apporte, cette méthode permet à l’interviewé de tout raconter, sans être interrompu. Avec la méthode traditionnelle, l’interviewé se sentait assailli de questions. Chacune de ces questions l’arrachait à sa logique propre. A force d’être régulièrement troublé par une autre logique que la sienne, la confusion envahissait son discours et… l’ensemble de l’enquête.
Plus question, maintenant, de confrontation. Il s’agit dorénavant de construire ensemble une compréhension globale de la situation. Par exemple, vous consacrez une branche aux émotions ressenties : mieux elles sont accueillies, moins elles parasitent la déposition. Votre interlocuteur assiste en direct à cette nouvelle structuration, il peut quitter l’émotion, accéder à un regard méta et participer efficacement à la résolution de l’enquête. Bien souvent, c’est la carte elle-même qui éclaire des liens, des similitudes, des différences, des éléments pertinents. Ceux-ci passeraient probablement inaperçus s’ils étaient noyés dans un texte linéaire.
Les prises de note de vos interlocuteurs sont balisées. Une victime voudrait faire une déposition ? Elle comprend toute l’attention que vous lui consacrez lorsque vous lui présentez une carte gabarit comme celle-ci :
Vous lui proposez de noter tout ce qui lui vient à l’esprit à propos de son affaire. Non seulement la victime se sent directement prise en charge, mais en plus, elle a la sensation de participer concrètement à l’avancée de son dossier. La carte l’aidera à se focaliser sur les faits. L’enquête ne sera pas freinée par des flots d’émotions et d’interprétations hasardeuses.
En fin de déposition, s’il reste des zones imprécises, vous lui remettez une carte qui reprend les points en suspens.
Vous lui demandez de l’afficher à un endroit visible, sur son frigo par exemple. À elle d’ajouter des éléments au fur et à mesure de leur réapparition. Conseillez-lui d’utiliser des couleurs et des dessins (même métaphoriques). Ces ajouts progressifs provoqueront des états de conscience modifiés proches de l’hypnose. Ils stimuleront l’inconscient à révéler des éléments oubliés, mais cruciaux. Le cerveau ne supporte pas le vide, il mettra tout en œuvre pour compléter les branches. C’est ainsi que des informations surgissent, la nuit, sous la douche, en voiture… L’enquête avance à grands pas !
Un outil dédié à votre efficacité, quelle que soit la nature ou la complexité de votre projet !
C’est magique ! Pourquoi Sherlock Holmes n’y avait-il pas pensé ?
Le célèbre détective utilisait de bonnes méthodes, mais ne bénéficiait pas des outils performants que vous offre aujourd’hui le mind mapping.
Voici quelques fonctionnalités d’un logiciel de mind mapping Open source :
- Personnalisation visuelle
- Ajout de pièces jointes, hyperliens, légendes, etc.
- Niveaux de priorité et autres marqueurs
- Multi mapping
- Exportation en format image, PDF ou HTML
- Intégration Microsoft (Word, Excel, PowerPoint – version payante)
- Diagramme de Gantt (version payante)
- Etc.
Dans le cadre de votre enquête, ils vous permettent de :
- Trier les preuves en utilisant des icônes et des symboles.
- Hiérarchiser les prises de notes en branches principales et secondaires. Si nécessaire, elles apparaissent instantanément sous vos yeux.
- Accéder à la bonne information au bon moment.
- Joindre en attaché ou en hyper lien des photos (preuves, scènes de crime…)
- Ajouter rapports médicaux-légaux et résultats de laboratoire. À l’aide de quelques mots clés, vous mettez l’accent sur les données pertinentes.
- Relier entre elles des informations.
- Bénéficier d’un service de cartes partagées sur intranet ou internet. Le Dr Watson, votre assistant, ajoute régulièrement informations et observations.
- Remettre en cause vos suspicions de départ. Vous pouvez d’autant mieux sortir du cadre que tous les éléments, même les plus anciens, restent à votre disposition.
- Ajouter des sous-branches aux branches déjà créées, en éliminer d’autres : votre dossier reste clair et organisé.
Plus vous « mappez », plus le champ des possibilités s’ouvre. De nouvelles opportunités de recherche apparaissent, tant au niveau des témoins, qu’au niveau des tests et des experts.
Comme Sherlock Holmes, vous avez tendance à vous laisser distraire? Le centre de la carte, par son effet « mandala », vous incite à vous focaliser sur votre dossier.
« Élémentaire, mon cher Watson ! » Et voilà votre affaire résolue, votre défi accompli.
Vos lecteurs, loin de vous en vouloir de la rapidité du dénouement, sont admiratifs. Convaincus par l’efficacité de votre méthode, ils suivent votre exemple. Ils intègrent le mind mapping dans leurs activités et deviennent, comme vous, un héros, un modèle pour les autres. Le mind mapping est de plus en plus répandu, ce qui en facilite l’accès à tous. De nombreux cas d’addiction sont rapportés. L’activité humaine, de plus en plus efficace et ciblée, fait pâlir d’envie les machines les plus perfectionnées.
Alors, toujours enthousiaste à l’idée d’incarner Sherlock Holmes dans votre domaine d’activité ?
Sortez de la fiction et venez expérimenter la réalité du mind mapping, également dans vos activités quotidiennes dans cet article.
Un exemple trouvé dans la publication : Crime and Justice. A guide to Criminology
Pour aller plus loin et maîtriser cette méthode de manière intuitive, contactez-nous : fabienne@optimind.be, 0032495/516787
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