Je profite des vacances pour faire le bilan des formations de mind maping d’après les enquêtes de satisfaction.

Sur 300 participants :

Niveau de satisfaction générale (21 abstentions) :

La formation a-t-elle répondu à vos attentes ? (13 abstentions) :

Etes-vous prêt à appliquer ? (6 abstentions) :

Recommanderiez-vous cette formation ? :

295 participants ont répondu « oui »

 Ce bilan me conforte dans le choix peu banal de la pédagogie utilisée : je ne transfère pas les connaissances mais j’en appelle à l’intelligence collective et personnelle (voir pour plus de détail l’article « ma conception de l’apprentissage du mind mapping« ).

D’autant plus que sur ces 300 personnes, un bon nombre ont « subi » la formation (puisque imposée par leur direction).
La durée proposée de 1 journée me paraît adaptée alors que de nombreux autres formateurs préfèrent la répartir sur 2 jours (augmentation des coûts, du temps).
Bien sûr, nous survolons quelques logiciels sans entrer dans la pratique, car le choix du logiciel est souvent un coup de coeur.
Cartes graphiques (Imindmap, Inspiration) ou plus rationnelles (X-Mind, Mindjet), le choix d’un logiciel se fait souvent par l’apprenant en fin de journée.

Par l’expérience je remarque qu’ 1 personne sur 20 (soit 5%) est totalement réfractaire à l’outil.
Mais est-ce à l’outil ?
A la formation imposée ?
A une structure de désaccord ?
A une impossibilité (soi-disant) de visualiser ?
A la résistance au changement ?
Je n’oserais m’avancer.

Il serait intéressant d’obtenir un retour sur l’utilisation des cartes 1 an après la formation.
Je vais m’y atteler.
Mon objectif pour les mois futurs est de mettre la formation en e-learning, gros et passionnant boulot en perspective, surtout pour conserver la même philosophie.