Quelle joie de trouver cette carte dans la poubelle de mon fils Louis !
Ben oui, nul n’est prophète en son pays et souvent lorsque je parle de carte à mes enfants, ils m’envoient balader.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je ne reçois jamais les parents avec les enfants pour la formation mind mapping.
Car l’enfant peut dire « non » à la carte alors qu’en fait il non « non » aux parents.

Louis à 12 ans et est entré en 1er secondaire.
Cette carte lui a servi de support se présenter en début d’année devant la classe.

Remarquez que le mieux est l’ennemi du bien.
Ici, Louis n’a pas utilisé de couleur et la feuille est quadrillée, pourtant il a trouvé un (des ?) à réaliser une carte, aussi non il ne l’aurait pas faite.

Lorsque je parle des règles des mind mapping lors de mes formations, j’ouvre toujours une porte sur la possibilité des réaliser des cartes avec une partie des règles.
Si le fait de devoir impérativement prendre des feutres est un frein à faire une carte, pourquoi ne pas réaliser une carte en monochrome ?
Mon ex mari par exemple, réalise des cartes sans couleur et sans picto, et pourtant il trouve plein d’avantages à en faire.

C’est cela s’approprier les règles des cartes :  chacun doit prendre les règles pour qu’elles aient un sens pour lui, en fonction de ce qu’il est, ce vers quoi il va, et les adapter en fonction de la situation.
J’ai la croyance que chacun est à même de juger de la pertinence des règles car chacun a un ressenti.
C’est la souplesse de ne pas rester figer dans des règles strictes établies.